À propos
L’atelier de Jean-Marc Fondimare:
Là où la porcelaine joue avec la lumière.
Porcelaine coulée
Jean-Marc Fondimare travaille la porcelaine selon l’unique méthode du coulage.
Seule la porcelaine lui offre ces extraordinaires qualités de translucidité et d’extrême douceur au toucher qu’il convoite depuis dix ans avec toujours autant de plaisir et d’opiniâtreté. De formation scientifique, il a un goût pour les défis techniques et les processus oubliés, et aime à collaborer avec les prescripteurs et les designers dans ce sens.
Utilitaire
Jean-Marc Fondimare réalise du petit objet utilitaire (mugs, tasses, assiettes, passe-thé…) aux formes épurées très reconnaissables. Il prête une attention toute particulière à la manière dont les gens se saisiront de ses pièces et les utiliseront, tant pour les objets utilitaires que les objets de décoration.
Maniabilité, juste épaisseur pour une résistance et une finesse optimales, douceur du biscuit obtenue par un long ponçage attentionné… sont toujours réunis pour que de beaux, ces petits objets deviennent aussi des pièces élégantes au service d’un usage quotidien. Toutes les pièces sont émaillées à l’intérieur et laissées brutes (biscuit) à l’extérieur. Le graphisme, pop et très élémentaire, sert la modernité des formes et plaît à un très large public.
Luminaires
Depuis cinq ans, Jean-Marc Fondimare s’est aussi fait du luminaire une véritable spécialité. Au prix d’une patience infinie, il perce de mille points des globes oblongs en porcelaine, laissés à l’état du biscuit blanc ou noir. Pourvus de câbles électriques tissus de couleurs vives, ces suspensions peuvent s’associer en larges compositions totalement modulables et se prêtent à tous les espaces (de la pièce de la maison au hall d’hôtel, en passant par les vitrines de magasins).
Jean-Marc Fondimare travaille actuellement à une diversification de l’offre et a abouti depuis peu plusieurs prototypes de lampes à poser et d’appliques.
- Réalisation des moules et coulage de la porcelaine
- Transfert d’images
- Lithophanie
Texte: Stéphanie Le Follic-Hadida